Actualités Paroissiales

Pèlerinage sur les pas de Saint Vincent de Paul et du Saint Curé d’Ars.  Châtillon-sur-Chalaronne – Ars-sur-Formans –

19 au 22 avril 2017

Il s’agissait de faire une démarche jubilaire sur les pas de Monsieur Vincent pour les 400 ans de la vocation Vincentienne à Châtillon– 1617 -2017

De divers horizons de la paroisse Saint Vincent de Lérins, tous les participants et les accompagnants prêtres; le père Franklin Parmentier, le père Jean François et l’Abbé Luc se sont vite rassemblés avant l’arrivée du bus conduit par Émilie. Le départ à 7h15 est bientôt suivi des laudes à l’aide de beaux livrets confectionnés par nos prêtres, entre temps les chocolats et les bavardages ne manquent. Après la traversée de Lyon, à 14h30 c’est l’arrivée à Châtillon les Dombes, avec un beau temps très froid, pour nous faire découvrir notre guide locale qui nous accompagne bientôt sur les lieux où Saint Vincent a vécu.

Les yeux de tous les participants ont pu s’émerveiller de voir une ville qui a conservé en bon état, des maisons à colombages du XVème siècle et son église Saint André.

Nous avons visité La Chapelle Saint Vincent à l’emplacement de la chambre de St Vincent de Paul, après avoir gravi les marches (16ème s) qu’il franchissait chaque  jour, ainsi que l’Hôtel Dieu (devenu centre culturel), source et commencement de la Charité fondée le 20 août 1617 pour se répandre à travers le monde.  La pause repas du 2ème jour s’est effectuée dans un restaurant adossé à un mur des remparts, dépaysement bien  apprécié, grâce au calme et à la beauté de l’environnement. Nous avons dit adieu à Châtillon après la messe dans l’église St André, à côté d’une halle en chêne de 1672.

La petite ville d’Ars était réservée aux soirées jusque-là, c’est le jeudi 21 avril que nous avons pu prendre part aux cérémonies et connaître un peu plus le Saint curé d’Ars (la Basilique, maison, chapelles) sans oublier les marches spirituelles et la participation des jeunes de l’aumônerie.

Le samedi, le temps de ranger et de prendre le petit déjeuner avec les sœurs en tenues asiatiques, nous sommes partis vers la Basilique de Lyon avec un temps magnifique, propice pour admirer le panorama de la totalité de la ville.  Après une visite guidée nécessaire pour comprendre tous les symboles de pierre réalisés avec un grand art plein de spiritualité, il était temps de se restaurer près du site, en alliant le plaisir des yeux et des papilles avant l’heure du départ.

Arrêtons-nous un moment sur les déclarations de St Vincent: « Seigneur, tirez nous après vous, faîtes nous la grâce de suivre votre exemple et de regarder toutes choses comme vous les regardez », et disons aussi avec le Saint curé d’Ars;  » ô mon Dieu »… » je vous aime ». « Je veux que mon cœur vous le répète autant que je respire ».

Nous sommes arrivés à 20 h à La Bocca, tout le monde reprend les valises après les embrassades enveloppées d’une certaine nostalgie, il faut se quitter.              Christiane Parmentier

MARCHE  DE  LA  PASSION

Après un rassemblement dans l’église de l’Assomption, près de la plage de la Raguette, c’est un moment de recueillement qui a précédé le départ de la marche de la Passion, menée par notre curé, le père Franklin Parmentier.

Ce long ruban est très vite escorté par des policiers en moto, et des « vigilants » en gilet jaune, quelqu’un porte la croix et nous suivons bientôt notre doyen vêtu d’une chasuble rouge et or qui tranche dans la grisaille de cette « entrée maritime « dont l’humidité ne rebute pas les participants.

Nous commençons d’égrener le chapelet en rappelant les mystères douloureux de la Passion du Christ avec l’aide d’un micro. Quel contraste! Des joggeurs nous dépassent en simulant l’indifférence, des badauds en tenue de plage s’étonnent et interrompent un moment leur activité de plage, un père de famille s’approche avec un enfant dans les bras comme pour participer un petit moment.

Quelques arrêts nous permettent d’écouter des prières, une feuille de chants est à notre disposition pour émailler de nos voix l’avancée de nos pas vers La Bocca.

Le tunnel franchi, il ne reste que quelques mètres pour retrouver les autres paroissiens, déjà présents dans l’église Sainte Marguerite, pour la messe de la Passion prévue à 20 Heures. Nous sommes dans les temps, fiers d’avoir pu participer physiquement et peut-être mieux comprendre l’étendue qui nous reste à franchir, pour essayer de dire comme Isaïe : »me voici » en réponse à l’appel que chacun reçoit dans sa relation à Dieu.                                                                                                               Christiane Parmentier

FORMATION ALPHA – Témoignages WE La Castille

Weekend  enrichissant, fraternel, avec un temps où nous avons approfondi  l’écoute active, essentiel à vivre dans nos partages ! Merciiii.     Nicolas & Marie

« Parce que Alpha est un outil pour évangéliser nous sommes venus nous former. Alpha V commence en Septembre mais le travail d’équipe commence aujourd’hui ! Nous serons heureux de vous accueillir, à bientôt ! »          Ludivine

Enchantement, découverte, accueil chaleureux, convivialité, ambiance joyeuse que l’animateur de chants a maintenue tout au long du WE, tout en nous transmettant son dynamisme et sa foi, paix, joie, sérénité qui nous imprégnaient petit à petit au fil des heures.

Beaucoup apprécié les temps de prière en petits groupes, les témoignages dont celui de ce prêtre du Var qui, par le biais du Parcours Alpha, a transformé ses paroissiens, jeunes ou moins jeunes.

Très intéressée par l’Atelier « Les différents rôles dans l’équipe Alpha Classic débutant »  très émue lors de la soirée « Comment être remplie de l’Esprit-Saint » revenue redynamisée, j’ai ensuite vécu le trou noir, le désert, envahie par des soucis d’ordre personnel que je n’arrivais pas à maîtriser.  Alors, j’ai pensé à tout ce que j’avais vécu durant le WE, à tout l’amour que j’avais reçu, et j’ai dit à l’Esprit Saint. « C’est le moment de t’occuper de moi, j’ai vraiment besoin de toi » et ça a marché ; petit à petit, j’ai retrouvé la paix, la sérénité et j’ai su le travail que je devais faire sur moi-même pour m’en sortir.       O souffle imprévisible, ô souffle qui fait renaître, MERCI !            Hélène